Le SNJ a raison :  « Seuls ceux qui ont la possibilité de stopper les rotatives ont droit à des négociations salariales sectorielles. Pour le reste, la direction entend préserver son privilège de gratifier qui bon lui semble »… Oui, le secteur industriel a le pouvoir de stopper les machines. Forte de plus de 500 journalistes, la rédaction…